L'œuvre 'Don Quichotte nomade' remporte le concours baroque pour enfants du Festival de théâtre d'Almagro
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L’œuvre ‘Don Quichotte nomade’ remporte le concours baroque pour enfants du Festival de théâtre d’Almagro
THÉÂTRE CLASSIQUE
Le jury a décidé à la majorité de récompenser l’œuvre dirigée par Elena Bolaños « pour l’utilisation magnifique » des nouvelles technologies appliquées à une œuvre universelleLa 46e édition de l’Almagro Le Festival de théâtre classique présentera plus de 40 spectacles à partir du 29 juin.
ABC – Ciudad Real – 07/07/2023
L’œuvre ‘Don Quichotte nomade’, de la compagnie sévillane bricAbrac, a été lauréate du douzième concours baroque pour enfants du Festival International Théâtre classique d’Almagro et peut être vu à la fin de l’année au théâtre Fernán Gómez. Centre culturel de la Villa de Madrid.
Le jury a décidé à la majorité de récompenser le travail réalisé par Elena Bolaños « pour l’utilisation magnifique » des nouvelles technologies appliquées à un travail universel, en parfaite combinaison avec le travail rigoureux et minutieux des manipulateurs , sans perdre l’essence de l’artisanat dans la fabrication de marionnettes et d’éléments scénographiques qui, avec un sens de l’humour, parvient à rapprocher l’univers Cervantine d’un large éventail de publics.
Le jugement comprend également une mention spéciale pour la version de ‘La La vie est un rêve’ de la compagnie péruvienne Teatro La Plaza Le jury était composé de Sergio de Toro, élève de l’école publique Miguel de Cervantes ; Paula Maestro, élève de l’école publique Paseo Viejo de la Florida, et Abril Cazalla, élève de l’école publique Diego de Almagro, tous situés à Ciudad Real, ainsi que Teresa Pérez-Prat, coordinatrice de la programmation du festival, et Juan Pablo Soler, directeur de la zone des arts du spectacle de la mairie de Murcie.
Don Quichotte nomade s’inspire de la grande œuvre de la littérature espagnole, qui adapte le roman de Cervantes dans une pièce dans laquelle la formule classique d’une tournée de comédiens de langue converge avec une proposition esthétique et technique contemporaine. Cette volonté prend la forme d’un collage qui fusionne le spectacle de marionnettes et le cinéma en direct, de telle sorte que la poétique traditionnelle s’intègre à la technologie. Les personnages construits sur papier sont enregistrés par cinq caméras qui captent les différents points de vue qui sont commandés en direct pour raconter, dans une tonalité comique, l’histoire du monsieur à la figure triste. vainqueur de Barroco Infantil a eu lieu ce vendredi lors de la conférence de presse à laquelle Ricardo Iniesta, de la société Atalaya; Eduardo Vasco, du Théâtre de novembre ; Rodrigo Arribas, de la Fundación Siglo de Oro, et Guzmán Calzada, de l’Ensemble Miscelánea, qui présentent leurs œuvres cet après-midi dans les différents espaces du festival. « Le théâtre se fait sans frontières, c’est un patrimoine universel », a déclaré Iniesta, dont la compagnie a atterri cet après-midi à la Casa Palacio de los Villarreal avec ‘El avaro de Molière’, une critique en tonalité musicale et d’actualité de l’œuvre la plus connue du dramaturge français dans ce qui est sa deuxième visite au festival après La Celestina , qu’il a présenté en 2013.
Eduardo Vasco, qui, à 20h00, présente Abre el ojo dans AUREA, a qualifié Rojas Zorrilla, auteur de l’œuvre, de « le plus scélérat de l’âge d’or ». Le directeur du CNTC entre 2004 et 2011 participe deux fois cette année au festival. En plus d’Abre el ojo, Vasco présentera dimanche, à 13h00, au Théâtre Municipal, le spectacle-document La récitation du vers classique sur des disques noirs (1898-1936), où il passe en revue la mémoire sonore de les acteurs espagnols du premier tiers du XXe siècle. Avec ‘La dama boba’ arrive ce soir au Corral de Comedias Rodrigo Arribas, de la Fundación Siglo de Oro, présentant sa version de la mythique sitcom de Lope de Vega, une « belle et texte drôle qui parle de la véritable possibilité de transformation par l’amour ». Tandis que Guzmán Calzada, directeur de la compagnie belge Miscelánea Ensemble, composée de membres de différentes latitudes, a ébranlé Eso rigor e repente, une proposition musicale centrée sur le répertoire de L’âge d’or espagnol qui révèle les échanges de la musique hispanique entre les grands centres de l’empire des deux rives de l’océan Atlantique et qui aura sa première mondiale ce soir à la Casa Palacio de Juan Jedler. « C’est une occasion unique de présenter notre spectacle ici », a reconnu Calzada, qui a montré comme l’un des signes distinctifs du concert le fait que des accents de différentes sources s’entremêlent, ce qui enrichit la musicalité et l’orchestration de la voix.
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